Ainsi que nous l’avions annoncé, voici que se terminent les 360 jours de 2012 concernant nos allégations sur l’énigmatique raison des pyramides de Gizeh.
Toutefois chers visiteurs, nous avons scrupule à vous abandonner en si bon chemin sur les sentiers de la connaissance, aussi sommes-nous désireux de vous proposer en 2013 des thèmes complémentaires à ces travaux généraux. Nous les diffuserons au gré de nos inspirations afin de maintenir le contact entre nous, mais aussi pour accroitre l’amplitude de cette merveilleuse découverte. Ces révélations dont vous êtes à même de jauger la valeur, transformeront le monde de demain, si les hommes le veulent.
La Grande Pyramide d’Egypte pourrait être une ère de lancement ascensionnel pour le nécessaire renouveau de notre civilisation. Elle pourrait devenir un sanctuaire de réflexion doublé d’un patrimoine de l’humanité.
Les êtres omniscients qui ont conçu ce magistère du tout en tout, savaient pertinemment que l’homme parviendrait un jour à un stade éminent de son raisonnement. Entendons par ces termes, la faculté de découvrir en ce chef-d’œuvre de connaissances, une plus valorisante interprétation que le restrictif et outrageant attribut de tombeau.
Aujourd’hui, afin que d’autres horizons s’offrent à nous, il nous faut refondre intégralement notre système évolutif. Il nous faut intégrer à notre mode existentiel, une valeur spirituelle à caractère tangible, concret, évaluable et non dogmatique. C’est la part théologique vitale que nous n’aurions jamais dû troquer contre cet hédonisme primaire aussi préjudiciable qu’artificieux.
Avec l’usage intense et inconsidéré des technologies à objectif commercial, nous abandonnons graduellement sur l’autel des gains nos responsabilités conscientes. L’utopique « croissance » mine notre logique, nous nous engluons jour après jour en cette illusion cosmétique que le collectif voue à l’apparence.
Ainsi vivons-nous une fiction permanente qui s’oppose à la vigilance et désamorce nos états de responsabilité. Nous nous confinons en nos nécessités en retardant l’éveil de notre état de conscience, le seul qui ait pouvoir à stimuler les archétypes de nos désirs à vivre.
L’homme a d’étonnantes facultés d’adaptation, à seule condition qu’il ait le temps de l’analyse et de l’accommodement. Si ce n’est pas le cas, ce sont les instruments d’applications qui l’assujettissent et le conduisent à une passivité du raisonnement. Le seul espoir réactif en notre possession, c’est d’envisager une étape de reconsidération sur la plate-forme cognitive de la raison de vivre.
Nous ne sommes pas un accident de la nature, nous avons une profonde raison d’être, sachons mes amis la découvrir, pour envisager le futur avec sérénité.